Le grand débat, en question
- Bonjour et bienvenue à tous dans ce troisième numéro du grand débat du vendredi, qui tombe aujourd'hui exceptionnellement un mercredi ! A ma droite, voici monsieur Nicolas Cytosine. A ma gauche, voici Ségolène Princier. Madame Ségolène, le tirage au sort vous a désigné pour être la première à parler. Quelle est votre opinion ?
- Pour moi, c'est quelque chose de normal, le bon sens même. Les français ont besoin de savoir, de comprendre, je ne vois rien qui me choque la dedans !
- Mais vous avez quoi dans les yeux ? Rien que hier, j'ai réussi à compter douze débats sur le débat ! Et croyez-moi, je ne passe pas mon temps devant la télé, j'avais quand même un débat à préparer ! Regardez : Denisot, Calvi, Morandini et même Ruquier en ont parlé ! Si on rajoute à ça tous les articles dans les journaux et les pubs à la télé, le travailleur français, il devient fou !
- Je vois ce que vous voulez dire, mais il faut regarder les choses en face : pour moi, c'est quelque chose de normal de faire des débats quand un évènement majeur comme un débat a lieu ! C'est le bon sens même ! Les français ont besoin de savoir, de comprendre, je ne vois rien qui me choque la dedans !
- Je pense que nous n'arriverons pas à vous mettre d'accord. Le débat arrive à son terme, j'espère que désormais, les choses sont plus claires pour tout le monde. Merci d'avoir suivi ce débat sur les débat sur le débat. A bientôt pour un prochain rendez-vous du grand débat du vendredi.